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Drachentöter
Folgendes war mal aus einer Laune heraus entstanden (und so ganz nebenbei wollte ich einmal in meinem Leben ein längeres Versmaß einhalten - nunja, hat nicht geklappt).
Alles nach den drei Punkten mal mit Vorbehalt und Änderungswunsch, es ist doof, Gedichte erst mehrere Tage später fertigzustellen, dann geht irgendwie die Sprachmelodie flöten (was nicht heißen soll, dass hier überhaupt eine vorhanden wäre).
Sauve-qui-peut
Ceux, morts de sauvage, bah, sauve-qui-peut –
Peu frequentement tremblent leurs cœurs sulfatés –
Et morts d’une prière, ils prient bien sans cesse
Pour r’trouver cette voie libre, terminus : « la faiblesse ».
Bonjour petite fille, celle qui m’appelle, oui,
C’était toi, n’est-ce pas, chantant cette comptine ?
Cette comptine d’une larme, si belle ? Sourcilleux !
Comme c’est regrettable ; vite, sauve-qui-peut !
Mais voilà, petit homme, sauve-qui-peut,
Ainsi qui a, toi, un cœur sulfureux.
Perdu cette journée, perdu bien la nuit,
Mais laisse-moi tranquille avec ses fonds ennuis !
C’est trop, c’est trop triste ; ce soulèvement
Je pleure de douleur, je pleure de chagrin …
Toi, qui m’appelle, qui est trop vénéneuse,
Selon ma morale, vite, sauve-qui’en-peut !
Sais que voilà, et bien sauve-qui-peut,
Ces sont juste les choses, soi-disant « si soyeux »; –
J’en ai cru, j’en ai marre, j’en ai trop pleuré,
J’m’en enfuis, quoi tous doivent accepter !
Mais, me, petite fille, toi, sauve-qui-peut,
T’as m’appellé, un serpent venimeux
Pour t’en être sûre, afin de saissir
Que tout ce qu’tu veules, ce n’est que mourir.
C’est bien ça, de mourir, moi, afin qu’se passe quoi ?
Je sais pas, pourquoi t’le souhaite, toi !
Afin d’oublier, de pas tomber amoureux …
Mais non, j’mais j’en rêvais ; sauve-qui-peut !
C’est ça, alors, vivr’en apnoe,
Que tu souhaite, sauve-qui-peut ?
Mais non, mais si … quoi ces sont cettes questions ?
Tu m’veux bien, toi, tuer, c’est ça alors, hein ?
… Bien sûr pas si dingue et d’bonne volonté …
En recompense pour faire ce qu’t’as souhaité !
T’en vas ! Pas de chance ! Oh rends-toi silencieux !
Jamais j’en rêvais ! Donc crève, sauve-qui-peut !
…
J’t’l’ai dit, t’as pas m’le cru, sauve-qui-peut –
Alors, vas-t’en, j’m’enfuis pour oublier.
C’est pas l’système, sauve-qui-peut !
Toi, me, t’as bien évoqué !
Quelle mensonge ! Quelle reproche, sauve-qui-peut !
Vois-tu, mon copain, je suis si vénéneux …
En effet, ce venin te tue pas, sauve-qui-peut !
Quelle gaspillage, donc, d'me mordre – Mais aïe tu me tue !
Eh bien toi, mort d’sauvage, oh, sauve-qui-peut –
Peu frequentement trembl'ton cœur vénéneux –
Et mort d’une comptine, compte bien ton temps
Jusqu’au terminus : « morsure de serpent ».
Geändert von Mordechaj (11.09.2008 um 19:02 Uhr)
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