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Thema: "Tes yeux, mademoiselle" - fremdartige Gedichte

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  1. #1

    "Tes yeux, mademoiselle" - fremdartige Gedichte

    Tes yeux, mademoiselle

    Tes yeux sont le miroir, mademoiselle.
    En plus, ils sont la seduction sexuelle.
    Faits d’or ils sont la mort et l’abimé,
    Faisant trembler et le cœur hesiter.
    Faits de fleurs, ils sont l’amour et ravis,
    Portant de l’espoir, le charme, la manie.

    Tes yeux sont la victoire, mademoiselle.
    Ils vainquent l’esprit le plus exceptionnel.
    Connue comme la conquireuse de tous cœurs
    Tu feras ton nom franchement d’honneur.
    Donc, sans doute, il faut recapituler
    Voilà tout ; il reste la captivité.

    Tes yeux sont des monarques, mademoiselle.
    Ils regnent sur mon âme partielle
    Comme le soleil sur l’été des plus belles.
    En contrôlant mon agir profond,
    Ils attrapent toute ma conscience irréelle,
    Et conquièrent sans aucun pitié mon monde.

    Tes yeux sont le claire de lune, mademoiselle.
    Ils brillent mignonnement aux jour et nuit
    Comme un feu éternel pour ta patrie.
    Ils font noir le ciel et le monde entier,
    Plongeant dans eux on trouve la folie
    On trouve l’Astaire et de la virginité.

    Tes yeux sont la fascination, mademoiselle.
    Ils sont dedié par mille poèmes pareils,
    Ils emportent les cœurs comme le fleuve l’entraîn.
    Pour les fantastes tu es la déesse, la reine,
    Pour les pensées la cage, des chaînes.
    Tes yeux sont le miroir.



    Ich verkneif mir mal Kommentare^^". Wer Sprachfehler findet bitte melden, nich behalten , gibt bestimmt nen Finderlohn ( ).

    Werden bald mehr, ich bin mal so vermessen, mir nen eigenen Thread zu machen.

    EDIT: grobe Fehler mit den Geschlechtern (der Tipp "wenn man nich weiter weiß isses meistens weiblich" ist aber auch echt nich zu gebrauchen ) behoben.
    Edit2: Ich kann immernoch nich fassen, dass die Welt männlich ist ... noch eine kleine Sache berichtigt =)
    Edit99: Gott, ich hab innerhalb eines Jahres die Sprache komplett neu gelernt - und ich kann sie immernoch nich richtig !_!

    Geändert von Mordechaj (13.06.2008 um 14:57 Uhr)

  2. #2
    Du hast das jetzt ja echt geschrieben...

    Kommentare wirst du denk ich nicht so viele kriegen, denn wie man weiß mögen Nerds kein Französisch. :/
    Achja, ich hab sogar einen Fehler: la seduction sexuelle müsste es denk ich heißen.... ts ts, dass du gerade sowas falsch schreibst!

    Naja, ich finds irgendwie ganz süß und halt unheimlich kitschig. xD

  3. #3
    Kitschig, joah, aber nicht im negativen Sinne.
    Ich versteh zwar nur noch die Hälfte, aber das reicht auch schon, was viel über das Gedicht aussagt.
    Ich glaub aber, für das sehr simpel klingende Reimschema ist es fast ein weng zu lang, dadurch entsteht so eine gewisse Eintönigkeit. Erinnert mich an so mittelalterliche Gedichte, wo sich die Dichter über ewig viele Zeilen ständig wiederholt haben. Trägt natürlich auch seinen Beitrag zum Kitsch bei, aber ka. Mich störts eben ein Bisschen, sonst halt schön.
    Zitat Zitat
    irréelle
    Omfg, das gibts? Oo Sieht durch das Doppel-r ein wenig komisch für den französischen Sprachgebrauch aus.

  4. #4
    ^^nunja, das Reimschema klammert sich stark an das bisschen wirkliches Französischverständnis, das ich mir aneignen konnte^^".
    Und ja, die Worte sind recht einfache, aber zu meiner Verteidigung: Das Französische kennt nur ne 5stellige Zahl an Worten (glaube ich ö_Ö) und außerdem hab ich seit 3jahren Französisch . Tolle Vorraussetzungen Ö_Ö (und stimmt garnet, es sind 4... ).

    Es ist erzöde ;P. ich muss auch gestehen, das ist gestern abend entstanden, weil ich nich schlafen konnte (mein gott, warum sind die nächte aber auch so warm *snüff*).

    Zitat Zitat
    Du hast das jetzt ja echt geschrieben...
    ich hatte das auch aus irgendnem grund zuerst mit dieser fotosache (kein kommentar!) verwechselt, dann ist mir heute morgen aber eingefallen, dass das hier ja garnet verlangt war ;_;.


    wow, mein msn blinkt grad mit fehlern *rotstift raushol*


    Zitat Zitat
    Erinnert mich an so mittelalterliche Gedichte, wo sich die Dichter über ewig viele Zeilen ständig wiederholt haben.
    Du solltest keine lateinischen Texte lesen, das wird dann nur noch schlimmer, je weiter es zurückgeht (die Bibel hat dann so in etwa die Wiederholungsrate#1... Ich mag garnet wissen, was die Ägypter in ihre Pyramiden geritzt haben..."Hier ruht Kleopatra. Sie ruht hier, die olle Kleopatra. Übrigens ruht Kleopatra hier, schon recht, hier, wo Kleopatra ruht; da ruht die Kleopatra!")

    Geändert von Mordechaj (19.06.2007 um 14:24 Uhr)

  5. #5
    Hm...ich bin ja lernfähig. Meiner Meinung nach immer noch nicht das Gros, aber mal schaun. Ich hab diesmal etwas mehr metaphorischen Wert reingepackt (in der Hoffnung, arme kleine Schüler müssen sich in hundert Jahren mal damit rumschlagen hohohoho ... ehm ja ).

    De s'en aller

    Donc, je m'en vais -
    Ruisselant, presque parfait
    Théâtrale, tout trist, c'est le fait;
    Des mille milles là-haut.

    Au fil de l'eau,
    Je sors sans aucun mot
    Ne reviens pas, comme plus tôt,
    Car je connaît la drame.

    Voilà, mon âme
    Mais quel infâme;
    Plus de mille milles là-haut,
    J'aperçois trop tard
    Qu'il manque de ta côte
    Et il me faut douteusement
    Risquer ce que personne ne hasarde.

    Donc, je reviens -
    Heureusement, presqu'parfait
    Théâtrale, joyeux, c'est le fait;
    De mille milles là-haut.


    Edit: Fehler entfernt =3

    Geändert von Mordechaj (13.06.2008 um 14:59 Uhr)

  6. #6
    Zitat Zitat von Medley Beitrag anzeigen
    Du hast das jetzt ja echt geschrieben...

    Kommentare wirst du denk ich nicht so viele kriegen, denn wie man weiß mögen Nerds kein Französisch
    Und was machen die französischen Nerds (bzw.nairde ,wie es der franzose aussprechen würde....... [Das "e" aus nairde natürlich nur "Gehaucht" bzw. komplett stumm......
    Je nach Region........])
    Alle französischen nerds sind schlieslich dem "Nerdisme"verfallen.......

    Geändert von Jerome Denis Andre (30.10.2007 um 23:43 Uhr)

  7. #7
    Ich würde mal sagen, dass die französischen Nerds sich hier sowieso nur dann hinverirren, wenn sie auf ganz nerdische Weise ihre eigene Sprache hassen. ;P

    Apropos, ich weiß nich, was ich mir bei den fehlenden Plural-Endungen gedacht hab, nein ... >_>

  8. #8
    Mein Gott, er spricht mit fremden Zungen.
    Schafft ihm einen Exorzismus.

  9. #9
    Folgendes war mal aus einer Laune heraus entstanden (und so ganz nebenbei wollte ich einmal in meinem Leben ein längeres Versmaß einhalten - nunja, hat nicht geklappt).
    Alles nach den drei Punkten mal mit Vorbehalt und Änderungswunsch, es ist doof, Gedichte erst mehrere Tage später fertigzustellen, dann geht irgendwie die Sprachmelodie flöten (was nicht heißen soll, dass hier überhaupt eine vorhanden wäre).


    Sauve-qui-peut

    Ceux, morts de sauvage, bah, sauve-qui-peut –
    Peu frequentement tremblent leurs cœurs sulfatés –
    Et morts d’une prière, ils prient bien sans cesse
    Pour r’trouver cette voie libre, terminus : « la faiblesse ».


    Bonjour petite fille, celle qui m’appelle, oui,
    C’était toi, n’est-ce pas, chantant cette comptine ?
    Cette comptine d’une larme, si belle ? Sourcilleux !
    Comme c’est regrettable ; vite, sauve-qui-peut !

    Mais voilà, petit homme, sauve-qui-peut,
    Ainsi qui a, toi, un cœur sulfureux.
    Perdu cette journée, perdu bien la nuit,
    Mais laisse-moi tranquille avec ses fonds ennuis !


    C’est trop, c’est trop triste ; ce soulèvement
    Je pleure de douleur, je pleure de chagrin …
    Toi, qui m’appelle, qui est trop vénéneuse,
    Selon ma morale, vite, sauve-qui’en-peut !

    Sais que voilà, et bien sauve-qui-peut,
    Ces sont juste les choses, soi-disant « si soyeux »; –
    J’en ai cru, j’en ai marre, j’en ai trop pleuré,
    J’m’en enfuis, quoi tous doivent accepter !


    Mais, me, petite fille, toi, sauve-qui-peut,
    T’as m’appellé, un serpent venimeux
    Pour t’en être sûre, afin de saissir
    Que tout ce qu’tu veules, ce n’est que mourir.

    C’est bien ça, de mourir, moi, afin qu’se passe quoi ?

    Je sais pas, pourquoi t’le souhaite, toi !
    Afin d’oublier, de pas tomber amoureux …

    Mais non, j’mais j’en rêvais ; sauve-qui-peut !

    C’est ça, alors, vivr’en apnoe,
    Que tu souhaite, sauve-qui-peut ?

    Mais non, mais si … quoi ces sont cettes questions ?
    Tu m’veux bien, toi, tuer, c’est ça alors, hein ?


    … Bien sûr pas si dingue et d’bonne volonté …
    En recompense pour faire ce qu’t’as souhaité !

    T’en vas ! Pas de chance ! Oh rends-toi silencieux !
    Jamais j’en rêvais ! Donc crève, sauve-qui-peut !



    J’t’l’ai dit, t’as pas m’le cru, sauve-qui-peut –
    Alors, vas-t’en, j’m’enfuis pour oublier.


    C’est pas l’système, sauve-qui-peut !
    Toi, me, t’as bien évoqué !

    Quelle mensonge ! Quelle reproche, sauve-qui-peut !
    Vois-tu, mon copain, je suis si vénéneux …

    En effet, ce venin te tue pas, sauve-qui-peut !

    Quelle gaspillage, donc, d'me mordre – Mais aïe tu me tue !

    Eh bien toi, mort d’sauvage, oh, sauve-qui-peut –
    Peu frequentement trembl'ton cœur vénéneux –
    Et mort d’une comptine, compte bien ton temps
    Jusqu’au terminus : « morsure de serpent ».

    Geändert von Mordechaj (11.09.2008 um 19:02 Uhr)

  10. #10
    Entraîne ce qui soit éteint

    Nul homme qui n’est forcené d’avoir pitié,
    Nulle drogue qui n’est forcenée d’être pris,
    Nulle force qui ne fasse être forcené,
    Nulle mensonge qui ne fasse mal aux autrui.
    Et moi ;
    Je ne veux qu’entendre ta voix.
    Je ne rêve que de ta nuque au minuit.
    Je ne veux plus que de toi,
    Je ne songe à plus que te dire « Bonne nuit ».

    Nulle mademoiselle qui ne soit faite être belle,
    Nul galet qui ne fasse nul ricochet plus haut,
    Que nul follet d’une lande n’est haut qu’une javelle,
    Nul feinté et mépris qui ne méprenne les autres.
    Et moi ;
    Je ne veux que feinter mon lot,
    Je ne rêve que de tes herbes,
    Je ne veux plus que ton saut.
    Je ne songe à plus qu’en tenir ferme,
    J’avais jamais des sanglots.

    Rien ne raconte de l’encre des veines,
    Personne ne rassemble les larmes d’une reine,
    Guère n’est pareil, ni l’habitude d’être aimé,
    Ni point les cauchemars d’un follet libéré.
    Et moi ;
    Je ne suis plus l’homme qui songeait,
    Je ne sais plus comment il faille autrement,
    Je n’ai plus besoin des poèmes pareils,
    Et je ne manque plus des émotions,
    Ma foi, je n’ai plus des sanglots -
    Mais je te garde un verre plein d’eau
    Pour ne me perdre pas dans cette mer de pavot ; -

    Cette mer qui m’entraîne ...




    ...puis qu'il fait beau jour =3

    Geändert von Mordechaj (06.04.2008 um 20:51 Uhr)

  11. #11
    Heute mal auf Deutsch.


    Je me vois, donc je suis -
    Die pathetische Angst vor dem pathetisch Werden


    Wer sind wir?
    Was fasst uns?
    Wir verlieren uns im endlosen Nichts des Nonsens
    Der unendlich schweren Worte, die nur Niemande jemals zu sprechen vermochten.
    Dieses sinnlose Wirren von Monochromie ist die Konsequenz
    Der Abwesenheit aller Erscheinungen, mit denen wir einst fochten.

    Was tut es?
    Was ist es?
    Die Übermäßigkeit des Makels alter Backgepfläume
    Ist ein letzter Schrei des vorletzten Gehenden;
    Das vergängliche Vorrüberziehen im Rauschen der Bäume
    Macht nur einen letzten Schein des im Winde Wehenden.

    Was hält uns?
    Was schafft uns?
    Der Glaube der glühend schneebedeckten Pfanne
    Bricht mit der Ruhe der vielfach Sinistrierten;
    Das letzte Stück übermäßig leidliche Freude im Mandolinenmanne
    Verliert sich nach und nach in erschöpft Ästhetisiertem.

    Ein Mann kein Wort?
    Eine Frau – sprachlos?
    Das ist es, was die endlose Schlaflosigkeit der Gerechten
    Sinnend und eng umsaitet zum unerstrebbaren Guten wendet:
    Der Mangel an Eloquenz vergeht sich im Mohnfeld des tatsächlich Echten
    Und schläft tausendjährige Dornenhecken, in denen die Sanftmut lautlos pendelt.

    Wo darf man?
    Wo soll man?
    Hier bin ich Mensch. Ein keiner darf so nicht versprochen sein,
    Wie doch die unerträgliche Gegenwart uns hallend vormacht,
    Gefühle behauptend sich gegen ihr Fehlen behauptet, und mein,
    Ein klitzekleines Bisschen Weisheit verschlingt, und sich umso gut bettet in der Nacht ...

    Wohin?
    Woher?
    Wir reisen über Wege und Felder, bis wir von Flüssen hinweggerissen werden,
    Schlagen in Stürzbächen und Büchern die Stühle kurz und klein und sinken
    Hinab mit der Flut der auf offenem Land Ertrinkenden, hier, auf Erden,
    Wo wir vernichtende Wortfluten dulden und das Glas auf das Wohl erhebend den Nächsbesten linken.

    Auf?
    Ab?
    Der Tag schlägt tiefe Furchen in die Welt und schafft Lachen,
    Das uns vergessen macht, was wir waren und einst sein wollten.
    Über dem großen See steht der Jadehase und träumt und verspottet das Machen,
    Das sich mit dem Augen schmerzenden Klecks schlägt in ralligen Wolken.

    Ruhe?
    Schlaf? Aufbruch?
    Der Tag vergisst die Anmut nicht.
    Verschwunden im Nichts eines großen heilen Dorren’
    Verschlägt er uns ewig seines Antlitz’ Sicht
    Und zeigt sich schließlich doch, hell ergraut, in Wortfluten verworren.

    Denn auch zuletzt, oh schrecklich Werden, wirst du Licht.


    Geändert von Mordechaj (03.09.2008 um 15:54 Uhr)

  12. #12
    Ich erlaube mir hier mal die neue Version auch neu zu posten, allein aus dem Grund, weil das das erste Gedicht ist, bei dem ich mir getraut hab, es korrigieren zu lassen.
    (Merci mille fois, Blanca et Marie ! =3 )

    Die Akzentuierung hat sich erstaunlicherweise mit den Korrekturen verbessert - es gibt noch soooo viel zu lernen =o . (Es ist teilweise erschreckend, wie bescheuert ich eigentlich bin - "falloir" mit 'de'-Anschluss, na klar )



    Et je compta tes traces ...
    Pour une femme que je crois connaître telle qu'elle soit


    Et je compta | tes traces dans le sable
    Je te devais mon cœur, | mon amour inaliénable,
    Je disais « vécu ! », | tu m’répondais « vis, satan ! ».
    Et je m’en allai | d'ici le lendemain.

    Et je compta | tes traces dans la neige
    Tout à tour | au fil du vingtième siècle
    Tout nous toisa, | plus nos chemins éclatés.
    Et on se vit, | on crut que l'on était pareils.

    Et je compta | les traces de torture.
    Faute de faillir | t’entendre tant souffrir ;
    Faute de voir | provoquée par la nôtre.
    Et il fallait | être vu par les autres.

    Et je compta | tes traces sur mon corps
    Telles que sur mon cœur, | dès que tu y dors
    Telles que sur ma bouche | quand je t'ai touchée,
    Et je te crus loin, | méprisante - et je m’en allai.

    Et je compte, moi, | tes traces dans le blé
    Jusqu'au soir, | où je vis dans le passé …
    Jusqu’au moment | où je reviendrais
    Et je me crée, moi, | un monde où je t’appartiendrais.

    Geändert von Mordechaj (04.09.2008 um 18:46 Uhr)

  13. #13
    Kein Kommentar zu den französischen, das ist mir zu anstrengend. ö_ö Das davor gefällt mir aber sehr gut, wenn auch erst ab...
    Zitat Zitat
    Was tut es?
    Was ist es?
    Die Übermäßigkeit des Makels alter Backgepfläume
    Weil das die Ernsthaftigkeit rausnimmt.

  14. #14
    Zitat Zitat von La Cipolla Beitrag anzeigen
    Kein Kommentar zu den französischen, das ist mir zu anstrengend. ö_ö
    Google Sprachtools sind inzwischen sehr ausgereift ;P. ...naja, nicht wirklich .


    Danke dir jedenfalls für das kurze Feedback. Um ehrlich zu sein sollte das Gedicht auch nicht soviel Ernsthaftigkeit besitzen, eher eine recht wirre Zusammenspatelung von verschiedenen Motiven zu einem Gesamtbild - die Backpflaumen waren mir da besonders wichtig ._." .
    An dieser Stelle würde mich als Koksnase hinter dem Gedicht aber richtig arg interessieren, was genau dir daran eigentlich zusagt, weil das ganze ziemlich experimentell war. Ich habe also die unheimlich unziemliche Vermessenheit, dich um den Grund deiner lobenden Worte zu fragen - hernach stell ich mich aber gern in einen Eimer Teer und rupfe Hühner, versprochen!

  15. #15
    Rappel !

    « Rappel ! »
    le panneau m’ordonna.
    En regardant le ciel
    Vachement, je me dit :
    Rappelle-toi !
    Et c’était ce que je fis.

    C’était toi
    A qui je pensa,
    C’était toi
    A qui rime tout ça.
    Et donc, je m'aperçut
    De quoi il manqua.

    C’était
    Ton sourire, ravissant,
    Tes lèvres réchauffantes
    Le cuiller pour la glace.
    Et c’était toi de même qui m'emielles,
    Qui faissais continuement des merveilles.

    Et
    Vaut-il ajouter
    Que – malgré les problèmes –
    C’était toi qui avait
    Enchanté partout
    Ceux qui – par-dessus toi-même –
    Vient de s’abîmé ?

    Mais quoi,
    Je demanda etonné,
    C’est le sens de rappeler,
    Quand on trouve cette dieul
    Seulement
    Et découvre des glaïeul
    Au fil d’abandon ?


    Kleine Fehler entfernt, weitere bitte melden =(...

    Und weitere entfernt - wow, ich bin der Tipp-Ex!

    Geändert von Mordechaj (13.06.2008 um 15:09 Uhr)

  16. #16
    für wie intellektuell muss man sich dafür halten?

  17. #17
    ...hm?

  18. #18
    ich hasse einfach diese sprache. besonders wenn man sie dazu missbraucht seinen mist aufzuwerten.

    das ist nichts fremdartiges, das ist eine lüge, nichts weiter. die gedichte sind lahm. weder berühren sie, noch schockieren sie, noch können sie mich irgendwie beeidrucken. gedichte werden nicht besser, nur weil sie auf einer besonders flippigen sprache geschrieben sind.

  19. #19
    hm...also hatte ich das doch richtig verstanden.

    Nun, wenn dich das nicht vom Hocker reißt, dann kann ich das verstehen, ich denke, meine Auswürfe würden mir selber auch nich gefallen, wenn ich nich der Verblendung unterlegen wäre, in meinen Kram genug reindeuten zu können.
    Was das Wort "fremdartig" angeht, so solltest du die Definition nicht sosehr verallgemeinern, fürchte ich. Erster war diese Bezeichnung meiner fehlenden Selbstwertung unterworfen und zweiter sind die Gedichte fremdartig genug, um sie mit
    Zitat Zitat
    weder berühren sie, noch schockieren sie, noch können sie mich irgendwie beeidrucken.
    abzutun.

    Das dir die Sprache nicht mundet ist dein eigenes Empfinden. Ich möchte aber mit allem Respekt (wow, das klingt schon wieder arg distanziert) darauf hinweisen, dass das nicht allen so geht. Ich beabsichtige mit dem Französischen auch nicht, die Gedichte auf irgendeine Weise aufzupeppen, oder sie "flippig" zu machen, sondern ich betreibe den Versuch, mich in die französische Kultur zu katapultieren. Ob mir das nun gelungen sein könnte, steht selbstredend außer Frage, nur ist es mir persönlich wichtig, das ganze so zu verfassen.

    Desweiteren möchte ich dich vorallem in meinem Interesse bitten, mit Kritikpunkten aufzuwarten, oder wenigstens allgemeine Aussagen zu treffen, mit denen man etwas mehr anfangen kann. Die Worte "lahm" und "seinen mist aufzuwerten" sowie die Unterstellung der - wie ich denke oben abgehandelten - Lüge sind mir persönlich einfach zu spitz. Sorry, aber das ist annähernd beleidigend. Ich habe nicht gesagt, sie sollen jedem gefallen, aber für mich haben die Worte, die ich da niedergeschrieben hab - im Gegensatz zu so manch anderem - eine Bedeutung, auch, wenn sie nicht auf jedermanns Geschmack stoßen sollten. Also bitte, versuch sowas in Zukunft ein wenig subtiler auszudrücken. Das die die Sprache nicht gefällt, dafür kann ich nix, ebenso wenig wie dafür, dass dir der Inhalt nicht gefällt. Aber mich persönlich - und so egoistisch bin ich - bringen deine Kommentare nicht weiter, sondern sind eher verletzend und dein erster Ausspruch, der mir anscheinlich Arroganz attestieren soll, bereitet das nur nochmal schön auf.

    Es wäre also nett, wenn du mich darauf aufmerksam machen könntest, was genau dir daran nicht gefällt und mich vielleicht auf sprachliche Fehler hinzuweisen. Wenn dir aber nur die Sprache nicht mundet und du mich als arrogant erachtest, mein Denken in selbige zu verpacken, dann verschieb bitte weitere Kommentare, bis ich selber (wieder) anfang, das ganze scheiße zu finden.

  20. #20
    oh sicher. du benutzt die sprache um dich in die französische landeskultur (welche die beatniks ermordert hat, wir alle wissen das, aber niemand spricht es je aus) zu katapultieren. natürlich, du benutzt hier und da ein französisches wörtchen und schon warst du bei der erbauung des eifelturms dabei und hast rauchend baguettes in dich hineingestopft. wie dreist bist du eigentlich?

    und verlangst du wirklich von einem leser, dass er dich in deiner sache weiterbringt? seit wann gibst du vor sehen zu können, blinder?

    edit:
    Zitat Zitat
    er hat nach hilfe gefragt um fehler zu finden.
    es ist gegen meine prinzipien jemanden bei kunst zu helfen (und seien es nur rechtschreibfehler, die es auszumerzen gilt), so erbärmlich diese dann am ende auch ausfallen mag. das halte ich grundlegend für falsch und ich verachte jeden, der das macht. nicht nur weil es ein unwilliger oder williger (im endeffekt spielt das keine rolle mehr) eingriff in das schaffen, leben und töten eines künstlers ist, sondern vielmehr weil es nervt, leute mit einem poeten-sticker auf der stirn rumlaufen zu sehen, die ganz laut schreien "seht mich an!", obwohl sie gestern noch mit salz in die augen um hilfe gefleht haben, irgendetwas zustande zu bringen, und nicht einsehen können, dass sie eigentlich nichts zu sagen haben und nie etwas wirkliches sagen werden - da geht die kunst für mich verloren.

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